Michel Lévêque
1934 - 2019
Chronologie
Michel Lévêque nait en 1934 à Châtre, d’un père. Né à Châtre (Indre),
Il suit les cours de l'Ecole nationale des beaux-arts de Bourges de 1954 à 1959. Ayant un vif intérêt pour l'objet, l'étudiant préfère très vite la pratique de la poterie à celles de la peinture ou de la sculpture. La terre est le matériau premier du céramiste. En 1962, il fonde l’atelier de grès à l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs de Limoges où il enseigne la céramique pendant 15 ans. Cette année marque également la construction de son atelier personnel, équipé d'un four à bois.
En 1970, il est initié à l'art du raku par son ami Finn Lynngaard, potier danois, initiation doublée d'une immersion dans la culture danoise où le design est roi. Le raku est une pratique presque paradoxale pour laquelle la notion « d’esthétique fonctionnelle » du Bauhaus est oubliée. L’artiste met cette fois son travail à l’épreuve du hasard pour obtenir des surfaces colorées aux compositions qui renvoient à la peinture informelle.
Lévêque développe également des recherches de géométries et se libère de l’exclusivité du geste. Le tour est délaissé au profit du moulage, technique par laquelle l’obtention de forme programmée est plus aisée et la production de série plus naturelle.
En 1977 il co-organise le premier Symposium international de la céramique de la Borne avec Alain Girel, Jeanne Grandpierre, Jean Linard, Jean-Pierre Viot, Pierre Digan et Stedman.
En 1978, il quitte Limoges pour enseigner à l'Ecole nationale des Beaux-Arts de Bourges (atelier de céramique au département Art), puis comme plasticien en section Design/Architecture Intérieure dont, il devient en 1986 le coordonnateur jusqu'à son départ en retraite dix ans plus tard.
Il suit les cours de l'Ecole nationale des beaux-arts de Bourges de 1954 à 1959. Ayant un vif intérêt pour l'objet, l'étudiant préfère très vite la pratique de la poterie à celles de la peinture ou de la sculpture. La terre est le matériau premier du céramiste. En 1962, il fonde l’atelier de grès à l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs de Limoges où il enseigne la céramique pendant 15 ans. Cette année marque également la construction de son atelier personnel, équipé d'un four à bois.
En 1970, il est initié à l'art du raku par son ami Finn Lynngaard, potier danois, initiation doublée d'une immersion dans la culture danoise où le design est roi. Le raku est une pratique presque paradoxale pour laquelle la notion « d’esthétique fonctionnelle » du Bauhaus est oubliée. L’artiste met cette fois son travail à l’épreuve du hasard pour obtenir des surfaces colorées aux compositions qui renvoient à la peinture informelle.
Lévêque développe également des recherches de géométries et se libère de l’exclusivité du geste. Le tour est délaissé au profit du moulage, technique par laquelle l’obtention de forme programmée est plus aisée et la production de série plus naturelle.
En 1977 il co-organise le premier Symposium international de la céramique de la Borne avec Alain Girel, Jeanne Grandpierre, Jean Linard, Jean-Pierre Viot, Pierre Digan et Stedman.
En 1978, il quitte Limoges pour enseigner à l'Ecole nationale des Beaux-Arts de Bourges (atelier de céramique au département Art), puis comme plasticien en section Design/Architecture Intérieure dont, il devient en 1986 le coordonnateur jusqu'à son départ en retraite dix ans plus tard.
