Pierre Digan
1941 - 2016
Chronologie
Objets en grès pyrité, reconnaissables par leurs imperfections de cuisson. Baigné de cultures diverses, nourri des préceptes révélés par Bernard Leach, Digan veut participer à sa manière à un renouveau.
D’origine guadeloupéenne, son père est déjà un des artistes marquants de La Borne.
1956-1959 : Ecole des Arts Appliqués de Beaune et formé par le peintre, sculpteur et céramiste Michel Lucotte.
Entre 1960 et 1979, il s’installe à La Borne. A cette période, il effectue des séjours dans divers ateliers à Vallauris et à Auribeau-Sur-Siagne dans les Alpes Maritimes avec la céramiste avec qui il vit alors, Barbara Delfosse. Ensemble, ils réalisent de grandes sculptures ainsi qu’une belle production de grès utilitaires fortement pyrité.
Dans les années 70, il développe son entreprise en produisant des objets en série, et ouvre plusieurs galeries en France, exportant au Japon et aux Etats-Unis. Il obtient la reconnaissance internationale, comme en témoignent le succès de ses exportations et les commandes de ses œuvres à l’étranger.
Fort de ce succès, il créé l’entreprise «Digan grès» avec l’aide indispensable de Janet Stedman, sa nouvelle compagne.
Début des années 80, la céramique perd la cote et Digan quitte alors La Borne pour s’installer dans le Limousin, où il produira des sculptures monumentales.
Il publiera plusieurs ouvrages sur son œuvre et celles de ses contemporains : «Poterie usuelle contemporaine», «Murs et masques céramiques» et «Animaux céramiques», pour le compte de municipalités de la région. En parallèle, il s’essaie au raku, à la production d’urnes funéraires en porcelaine, et à la faïence, qu’il pratique à Vallauris.
D’origine guadeloupéenne, son père est déjà un des artistes marquants de La Borne.
1956-1959 : Ecole des Arts Appliqués de Beaune et formé par le peintre, sculpteur et céramiste Michel Lucotte.
Entre 1960 et 1979, il s’installe à La Borne. A cette période, il effectue des séjours dans divers ateliers à Vallauris et à Auribeau-Sur-Siagne dans les Alpes Maritimes avec la céramiste avec qui il vit alors, Barbara Delfosse. Ensemble, ils réalisent de grandes sculptures ainsi qu’une belle production de grès utilitaires fortement pyrité.
Dans les années 70, il développe son entreprise en produisant des objets en série, et ouvre plusieurs galeries en France, exportant au Japon et aux Etats-Unis. Il obtient la reconnaissance internationale, comme en témoignent le succès de ses exportations et les commandes de ses œuvres à l’étranger.
Fort de ce succès, il créé l’entreprise «Digan grès» avec l’aide indispensable de Janet Stedman, sa nouvelle compagne.
Début des années 80, la céramique perd la cote et Digan quitte alors La Borne pour s’installer dans le Limousin, où il produira des sculptures monumentales.
Il publiera plusieurs ouvrages sur son œuvre et celles de ses contemporains : «Poterie usuelle contemporaine», «Murs et masques céramiques» et «Animaux céramiques», pour le compte de municipalités de la région. En parallèle, il s’essaie au raku, à la production d’urnes funéraires en porcelaine, et à la faïence, qu’il pratique à Vallauris.