Juliette Derel
1918 - 2007
Chronologie
Née en 1918 en Normandie, Juliette Derel rentre en 1937 à l’Ecole des Beaux Arts de Tours. En 1939, elle apprend le tournage et le modelage dans un atelier artisanal, et participe rapidement à des expositions à Paris et tours.
En 1942, elle expose au Salon de l’Imagerie à Paris, dans le groupe «Atelier de Touraine», section céramique.
Puis de 1945 à 1952, elle expose en France et dans le monde entier.
En 1950 elle s’installe à Vallauris ou elle travaille à la poterie du Grand Chêne jusqu’en 1952 tout en collaborant avec René Batigne pour la préparation des expositions estivales. En 1952 elle s’installe à son compte, rue du Fournas rejointe par son mari Jean Rivier en 1953 et produisent de belles pièces aux couleurs gaies, au décor généralement abstrait.
Elle pratique uniquement le modelage de pièces en terre rouge et en parallèle fait tourner des pièces qu’elle décore ensuite. Elle met au point un décor incisé formant abstraction géométrique, qu’elle pratique par incision de l’émail, posé sur une sous- couche d’engobe. Progressivement elle réalise des sculptures en terre chamottée et en particulier des miroirs pour lesquelles elle utilise des couleurs vives.
Après leur séparation, Juliette Derel va s’installer à Gréolière, où elle poursuit une œuvre forte et pleine d’originalité.
Ce sont des céramiques, des sculptures, des carreaux muraux, ou des petits meubles. Ses émaux ont une gamme très vite reconnaissable, particulièrement ses oranges vifs.
En 1962, elle quitte Vallauris pour s’installer à Saint Paul de Vence.
En 1942, elle expose au Salon de l’Imagerie à Paris, dans le groupe «Atelier de Touraine», section céramique.
Puis de 1945 à 1952, elle expose en France et dans le monde entier.
En 1950 elle s’installe à Vallauris ou elle travaille à la poterie du Grand Chêne jusqu’en 1952 tout en collaborant avec René Batigne pour la préparation des expositions estivales. En 1952 elle s’installe à son compte, rue du Fournas rejointe par son mari Jean Rivier en 1953 et produisent de belles pièces aux couleurs gaies, au décor généralement abstrait.
Elle pratique uniquement le modelage de pièces en terre rouge et en parallèle fait tourner des pièces qu’elle décore ensuite. Elle met au point un décor incisé formant abstraction géométrique, qu’elle pratique par incision de l’émail, posé sur une sous- couche d’engobe. Progressivement elle réalise des sculptures en terre chamottée et en particulier des miroirs pour lesquelles elle utilise des couleurs vives.
Après leur séparation, Juliette Derel va s’installer à Gréolière, où elle poursuit une œuvre forte et pleine d’originalité.
Ce sont des céramiques, des sculptures, des carreaux muraux, ou des petits meubles. Ses émaux ont une gamme très vite reconnaissable, particulièrement ses oranges vifs.
En 1962, elle quitte Vallauris pour s’installer à Saint Paul de Vence.